Montre et civet n'allaient pas faire bon ménage quand elle s'emberlificota dans les fils de la perfusion tout en mangeant : le civet ne s'en trouva pas altéré, mais sa montre refusa désormais d'égrener le temps.
Mais des graines et le tant décrié civet allaient néanmoins suffire à lui redonner l’envie de combattre. L’aiguille de la trotteuse de sa montre avait judicieusement remplacé celle de sa perfusion et dès que les fils furent démêlés par l’accorte infirmière, ses joues rosirent et elle reprit goût à la vie.
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