Merci aline pour les précisions ! Au vu de tes photos, ton appareil a l'air de bonne qualité mais évidemment quelque peu limité en terme de capacités. Peux-tu tout de même régler l'ouverture et le temps de pose manuellement ? Si c'est le cas, cela devrait t'ouvrir des voies...
aline67 a écrit:Sans doute la passion et l'amour porté à notre belle Dame NATURE
![[^^] [^^]](./images/smilies/s^^.gif)
De la passion et de l'amour, et encore pas mal d'autres choses. J'ai été contaminé alors que j'étais une toute jeune pousse, et depuis lors je suis sévèrement atteint...!
mimi2b a écrit:Bel effort, l'Ours et merci pour le commentaire de tes images.
Il est évident qu'avec une plus grande focale tu aurais fait un malheur !
Quand y retournes-tu avec un matériel plus performant ?
Merci mimi. Je pourrais y retourner dès maintenant... mais avec le même matériel. Et la situation risque de durer encore un certain temps, donc peu de chances que je ramène de belles images de vautours avant longtemps...
En attendant... Suite du périple de l'ours au pays des vautours :
Deuxième jour : pas de vautours. Faute de cibles volantes, j'ai donc avalé les kilomètres dans la montagne en photographiant ce qui me tombait sous la main, car les sujets ne manquaient pas. Couleurs chatoyantes, faune entomique débordant d'activité...
Mais avant tout, une vue des environs peu après le lever du soleil :

Barule de-ci, barule de-là... sur et hors sentiers, sous un ciel d'un bleu éclatant et dans une chaleur quasi-estivale.
Un aperçu des couleurs, resplendissantes :

Je le disais un peu plus haut, les insectes étaient à la fête, aussi j'ai profité du séjour pour me faire la main en mode macro sur le Sony Alpha 200 (Grand intérêt de posséder une bonnette adaptable à "tous" les objectifs). Ma première cible était toute trouvée, sur le bord du chemin ;
Timarcha tenebricosa, coléoptère aussi appelé
crache-sang pour sa faculté à produire une bulle de liquide rouge lorsqu'il est menacé... Phénomène réputé courant et auquel je n'ai jamais assisté ! Il faut croire que ma compagnie est agréable à l'animal...

Terminons sur la déception du jour : dans nombre de régions, les touristes sont considéré(e)s comme d'insupportables vandales supposé(e)s tenir leur irrespect de la nature, soit de leur méconnaissance du sujet, soit du fait qu'ils/elles ne se trouvent pas "chez eux/elles" et n'ont donc que faire de salir, puisque ce ne sont pas eux/elles qui nettoieront.
Mon expérience m'a appris que les locaux/ales ont pourtant bien souvent leur part de responsabilité lorsque fleurit une décharge sauvage. Témoin, cette famille habitant les environs, venant régulièrement observer les vautours... et laissant derrière elle d'impérissables souvenirs :

Suite et fin d'ici peu !
(Toutes ces photos ont été prises avec un reflex Sony Alpha 200 + objectif 18-70mm 3,5/5,6)